Qu’entend-on réellement par « parties prenantes » ? 🔍
Collaborateurs, fournisseurs, actionnaires, clients, associations, communautés locales, acteurs institutionnels… Ces acteurs dynamiques façonnent l’écosystème de chaque entreprise, influençant et étant influencés par ses activités, bien au-delà des simples transactions économiques. Mais leur rôle est-il vraiment compris ? 🌍
Ces parties prenantes sont bien plus que des participants passifs. Elles sont des architectes potentiels de la stratégie RSE, des créateurs de valeur et des partenaires essentiels dans la transformation des modèles d’affaires. Pour que les entreprises évoluent en phase avec les attentes sociétales et économiques, il est crucial d’intégrer leurs perspectives.
Mais posons-nous une question essentielle : Dans votre inventaire des parties prenantes, avez-vous pensé à la nature ? 🍂
Souvent négligée, la nature est pourtant une partie prenante silencieuse, voire passive, comme le souligne la CSRD (ESRS1 AR7). Les entreprises sont désormais invitées à l’intégrer dans l’évaluation de la double matérialité, en explorant toutes les informations pertinentes sur son impact.
La nature a une telle importance qu’elle est au cœur des discussions de la COP 16 sur la biodiversité. Jusqu’au 1er novembre à Cali, des débats intenses ont eu lieu, notamment sur les crédits biodiversité. Les décideurs cherchent des solutions pour atteindre les 23 objectifs de l’accord Kunming-Montréal, parmi lesquels la protection minimale de 30 % de la planète et la mobilisation annuelle de 200 milliards de dollars pour préserver notre environnement naturel.
Le 28 octobre, l’IAPB a présenté une synthèse cruciale des conclusions sur les marchés de crédits biodiversité.
Et vous, avez-vous intégré la nature dans votre stratégie d’entreprise ?
Consulter le rapport 👉 https://lnkd.in/epr28R3j
📃Lien des articles :
https://lnkd.in/evT6JpZ3
https://lnkd.in/eiX6Kn3j
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